Communiqué : le CRAC aide les élus à retrouver le droit chemin

Jeudi soir, un an quasiment jour pour jour après la consultation sur la fusion marquée par le rejet massif des habitants, le conseil municipal de Bois-Guillaume-Bihorel, emmené par Gilbert Renard, maire élu par 0% des résidents du lieu, avait l’impudence de se transporter au Foyer municipal de Bihorel. Pour que les élus venus d’ailleurs ne s’égarent pas trop longuement dans nos contrées hostiles, le CRAC (Comité de Résistance et d’Actions Citoyennes) ne pouvait manquer l’occasion de montrer son sens de l’accueil en affichant un fléchage très explicite menant au lieu de réunion.

Le CRAC rappelle ainsi, une nouvelle fois, aux élus de la majorité municipale, qu’en faisant le choix de la fusion au mépris des habitants, ils ont commis l’irréparable, l’inacceptable, un acte déshonorant qui les a disqualifiés de façon définitive. Au-delà bien sûr de l’indication topographique, le message politique est clair : la commune nouvelle est née d’un viol de la démocratie, viol aggravé (commis par des personnes ayant autorité sur la victime : les élus de la commune) et viol en réunion (commis par l’ensemble des élus lors des conseils municipaux). Aucun électeur de Bihorel, aucun électeur de Bois-Guillaume n’oubliera, le CRAC continuera à y veiller ; et demain, en 2014 ou 2015, l’affront sera lavé dans les urnes.

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